J'arrive dans la classe, habillée de noir entièrement. Je suis surement élégantes aux yeux de certains et .... comme d'hab' certain (oui, au masculain) me reluque comme si... bon passons les sentiments de certains.
Bref, je jette une regard sur l'ensemble de la classe et me présente brièvement. j'explique le programme de l'année qui pour moi ne change pas. C'est répétitifs mais je maintiens le fait que mon travail me passionne.
Quand tout à coup, une jeune fille viens titiller mon attention: elle griffonne des croquis dans son carnet.... Certes nous sommes en classe d'art mais là il faudrait écouter ma cocotte.

"- HUM! Jeune fille qui dessine, je ne connaît pas votre nom, mais vu que ce que je dis à l'air de passionner , pouvez vous me répéter ce que je viens de dire depuis le début? En général je hais humilier les élèves ou les reprendre le premier jour ... et même les autres jours, mais ce que je supporte le oins c'est qu'on ne m'écoute pas.

Je la regarde et m'assoit en regardant sa tête et attendant sa réponse

Je levais la tête de mon croquis, légèrement contrariée mais ne le montrais pas en souriant.
- Oui Mme Noelani Faraday ! En gros vous venez de nous expliquer rapidement le baratin du  programme de l'année comme la plupart des professeurs à leur premier cours.

- De plus vous dites ne pas vouloir humilier un élève le premier jour, alors pourquoi me faire une remarque ?!
Alors qu'à votre entrée la fille du premier rang critiquait votre tenue ouvertement. L'à-bas, au fond de la classe, il y en a un qui continu de dormir à poings fermés et sans oublier ce cartable cartable sans son propriétaire. Tous ceci ne vous a pas dérangée ?? Ma question est plutôt suis-je votre nouvelle tête de turc ?? Déclarais-je en fermant brusquement mon carnet et le plongeant dans mon sac.

Je pense avoir fait un erreur de m'inscrire dans un cours, où le professeur est si peu passionné par son métier. Sans oublier la majorité des élèves est masculine, elle devait avoir une certaine réputation.
Je me demandais si je ne ferais pas mieux de m’inscrire en musique et continuer à dessiner durant mes heures perdues.

Je la regarde en souriant.

"Evidemment j'aurais du m'en douter.... "pourquoi regarde tu la paille qu'il y a dans l'œil de ton voisin alors que tu à une poutre dans le tiens"... Les élèves voici une belle preuve de vanité! Sujet qui sera notamment étudié. Pour ceux qui me critique ou qui dorment en cours... ou qui dessinent: mon cour n'est pas ouvert a des glandeurs et aux chieurs et chieuses de première. Ici on apprend a vivre l'art et a le maitriser. Quand à toi demoiselle à la grande gueule, si tu veux être ma tête de turc, tu le sera, le fait est que tu va tout de suite me donner ton carnet de croquis et ton carnet de liaison... Ah! J'oubliais. Comme je suis une prof' très "cool" et passionnément investi dans ce qu'elle fait, le ''baratin que tout les profs font et que je n'ai pas du tout commencé a commenter: tu me va me le recopier vingt fois dans son intégralité et de la police dont j'aurais envie. "

Je lui sourit sadiquement. L'art est une chose qui se maîtrise, quand on apprend l'art, rien ne doit nous empêcher de d'écouté ce qui le concerne. Même si c'est du déjà vu. Et j'ai surement été dure avec elle, mais moi, on ne me la fait pas. J'ai vingt ans, et j'estime que malgré ma jeunesse,,on me doit le respect en temps que prof. Bon l'a je l'ai joué dur, mais ils apprendrons a connaître le côté cool de la prof que je suis. Les élèves chuchotent entre eux, parlent de cette jeune fille, et je les fait taire en tapant sur le bureau avec mon poing. Il se taisent. J'ai surtout fait ça pour que la jeune fille n'ait plus a subir les paroles des gens de sa classe, a son sujet. Remarque elle apprendra a tourner sept fois sa langue dans sa bouche. Enfin je commence mon speech. Celui que je change chaque années, il est haut en couleur, je leur présente un programme dur, mais tout à fait plaisant. Un système de note assez élaboré et stricte, mais trés compréhensif.
Mes collègues eux ne font pas ça. Il trouve que ce n'est pas du tout productif d'adapter le programme aux élèves, ou de s'en rapprocher. Moi je pense tout le contraire.

J'eus un sourire en coin.
"Ben voyons, elle joue la scène de la prof sévère, on me la fait pas à moi!" pensais-je un sourire en coin.
Si elle voulait jouer à ça pas de soucis, je suis pas de la dernière pluie moi !
Je me levais en prenant mon sac sur l'épaule. Et avançais vers le bureau de la prof.

- Je vous laisse mon carnet de bon cœur, puisque je ne dépend plus de mes parents. Je lui posais mon carnet et mes croquis que je suis sûr qu'elle se fera un plaisir de critiquer.
Je considèrent avoir passé l'âge qu'on me fasse des remontrances professeur ! Je vous laisse avec vos élèves, je ne comptes plus en faire parti.

Je sortais de la classe avant que Mme Faraday ne disent le moindre commentaire.

Peut-être qu'elle allait me rattraper mais ça ne servirait à rien de toute façon, des gens comme ça ne mérite pas d'enseigner une si belle matière. Dommage que j'avais laisser mon carnet il y avait mes plus beaux dessins.

La jeune fille se lève et prend son sac. Je la regarde partir et lui fait un grand sourir avec un signe de main.

Grande fille, elle sait ce qu'elle doit faire., je la rejoint a la porte et lui claque la porte au nez. Je jette un regard sur la salle et continue mon speech. L'art n'a pas besoin d'un élève aussi ingrate et desinvolte. Es ce que je vais la chercher? Non. Je ne suis pas un chien, je ne cour pas après les gens. Je suis la pour apprendre de choses aux élèves, s'il refusent tant pis, mais ne venez pas m'agacer dans mon cour. Je ne supporte pas ça.
Je me retourne vers mes élève et leur demande si quelqu'un veux faire pareille. Personne ne repond. A la fin de ces longues heures je libere tout les eleves, et je ne sais pas pourquoi je scrute le carnet de croquis... Les dessin ne sont pas mal... Pas du tout mal. Mais bon puisque je risque de ne jamais la revoir, je vais m'en débarasser. Je prend le carnet et me dirige dans mon bureau, ou je jette mon sac par terre, puis me dirige directement sur mon balcon, j'y allume un feux dans un baril vide et dechire les pages une par une avant de les jeter dans le feux a la fin il ne me reste que la carcasse du bouquin.

Je voulais me vider la tête.
Je rejoins dans le jardin mon frère qui s'entraînait à faire des pompes et autres exercices pour renforcer ses muscles. Je m'assis sous un arbre et expliquais ce qui s'était passé. Un vent soufflait, et je respirais enfin.

J'observais le bâtiment, il y avait une fumée qui s'élevait d'un balcon. Je demandais à Lionel quel était cet étage. Il me répondit que c'était les bureaux des professeurs, chacun avait le sien.
Je posais ma tête contre le tronc.
Pendant que Mme Faraday déchire les pages du carnet de Lourane une par une avant de les jeter dans le feu , un brusque coup de vent fit voler une feuille enflammée.

Elle se posa au pieds du rideau, et comme vous vous en doutez, le tissu prit feu. Le professeur trop occupé à scruter la carcasse du bouquin, ne s'en rendit compte qu'au moment où la fumée devint étouffante. Le feu envahissait la moquette, les meubles, les murs. Un véritable enfer c'était créé.

Lionel se reposait, sa tête sur mes jambes, il regardait le ciel. Et soudain il se redressa précipitamment.

- Lourane, il y a le feu là-haut ! Dit Lionel en me prenant par le bras. Viens vite !

Les jumeaux montèrent rapidement les étages, jusqu'au bureau en feu, Lionel brisa avec son coude, une borne incendie murale. Une couverture tomba, une hache et un tuyau. L'alarme à incendie se déclencha.
Lourane s'empara de la couverture et de la hache, tandis que Lionel de la vanne du tuyau.

On entendait derrière la porte du bureau, une voix étouffée. L'appel d'air bloquait la porte, il fallait la défoncer. Lourane saisit la hache et de toutes ses forces l'abattit sur la porte à plusieurs reprises. Il fallut cinq minutes pour avoir un accès.

Lionel commença à arroser, Lourane se couvrait le visage avec la couverture, elle cherchait parmi la fumée.

Je fermais la fenêtre pour arrêté que le vent attise les flammes, et là près du bureau.
- Mme Faraday ?! Criais-je surprise.

Elle était au sol presque inconsciente. J'étais très en colère contre elle, mais je n'étais pas du genre à laisser mourir une personne.
Je posais la couverture sur elle et me mis avec elle dessous, je priais pour que Lionel réussisse à contrôler les flammes.
Au loin, on pouvait entendre une sirène de pompiers, un instant plus tard de nombreuses voix, les pompiers nous aidèrent à sortirent.

Des pompiers, nous ont couvert avec des couvertures chaudes et mis sous oxygène notre professeur, sur un brancard avait le droit à la même chose plus à une perfusion.

Malgré l'état de Mme Faraday, le directeur voulait une explication.

Alors que je brulais le bouquin de cette élève je ne fit aucunement attention au éclat de page qui mis peut de temps après le feu sans que je m'en aperçoivent , quand je remarqua cette catastrophe mon corps ne répondis pas , avait je peur de mourir a cette instant ? Regardant les flamme envahir le coin de mon bureau je ne pus régir un seul moment laissant peut de temps après ma personne manquer tout bonnement d'air , arrivant a contrôler la peur qui s'était immiscé en moi je commença a me précipité hors de la portait du brasier mais malheureusement , se fléau avait déjà pris possession des lieux me laissant perdre espoir de survivre a cette épreuve . Tombant a terre j'entendis quelque instant un grand bruit fracassant , ma personne étant affaiblie je ne pus qu'entendre quelques paroles flou avant de m'évanouir .

Le temps s'écoula très vite me laissant reprendre conscience , installé sur un brancard avec une perfusion au bras j'ouvris doucement les yeux découvrant ainsi que beaucoup de personne était prêt de moi : Le directeur , Lourane , un jeune homme ainsi que les pompier . écoutant les parole de le  Monsieur je lui donna a mon rythmes des explications pour cette grave incendie

" Bonjours Monsieur le Directeur , je vous donne mes explications * tousse quelque peut ayant les bronches endommager * Je voulais démontrés de mon autorité envers la jeune fille qui est ici , la voyant dessiner dans mon premiers cour je lui confisquer un journal et pris la décision de le faire disparaitre pour que celle ci comprennent que les cours sont très important même si les explication des professeurs sont très ennuyeuse"

Affaiblie ma personne retomba dans les pommes aussitôt laissant le directeurs prendre la parole a son tour

Es t'il exact Jeune Lourane ? si oui alors je clos se problème je prendrais en compte que ceci est accidentelle mais a l'avenir je te demande de prendre les cours avec de l'importance , même si tout professeur parle pour rien dire c'est toujours important de les écouté

La regardant il fit un sourire a la jeune fille puis il suivie les pompiers