OOOOH MADNESS, I LOVE YOU WHEN YOU TAKE ME!

1.

Thaddeus est quelqu'un de buté. Il n'aime pas essuyer un refus et encore moins une défaite. Précis, habile de ses mains et ayant des habitudes de travail très strict, le mot congé ou amusement ne fait pas parti de son vocabulaire. Néanmoins, c'est un jeune homme persévérant, qui ne laisserai jamais tombé quelqu'un ou quelque chose qui lui tiens à coeur. Et ce qui lui tiens à coeur plus que n'importe quoi, ce sont ses oeuvres et ses toiles. Il ne lui est pas rare de passer des journées et des nuits sans dormir, car il ne vit que pour cela. Passant des heures entières à peindre, à examiner minutieusement ses toiles et à laver avec une méticulosité maladive ses pinceaux, Thaddeus est un jeune homme entièrement dévoué à l'art de la Peinture.

Il est si absorbé par son travail qu'il en oublie ce que c'est que d'avoir un véritable contact humain. Le jeune homme a donc très peu d'ami, pour la simple raison qu'en dehors des échanges cordiaux entre ses collègue et étudiant ainsi que les professeurs il n'as aucune idée de comment faire pour parler aux gens de façon normale. Mais il a beaucoup d'humanité, rempli de bonté, de générosité mais aussi de dévotion envers ceux et celles qui auront besoin de lui, un jour peut-être.

Thaddeus possède un sens critique du tonnerre et un oeil de lynx. Chaque détails est pour lui toujours important et il ne travaille jamais sans rigueur. Car bien sûr, le jeune homme blond ne voit pas la peinture comme un simple amusement. En effet, c'est quelque chose que tout le monde devrais prendre au sérieux et que ceux ou celle qui dise le contraire prenne garde. Il est souvent pensif, même contemplatif devant la nature. Passer des heures à peindre dehors devant l'océan est quelque chose qu'il adore faire et pour rien au monde ne voudrais être déranger.Non, il ne parle pas beaucoup, préférant observer et écouter, sauf lorsque le sujet l’intéresse vraiment . Le grand blond a l’air un peu fermé en apparence, mais il écoutera toujours celui qui vient lui parler, répondant ou pas.

2.

Comment décrire Thaddeus sans décrire ses yeux? Leur éclat doré, comme deux petits soleils pailletés d'or, est la première chose qui se remarque chez lui.Ont les croiraient animés d'une vie propre, s'illuminés ou s'assombrissant selon ses émotions, mais jamais impassibles. Avec de la pratique, on peut presque y lire ses émotions comme dans un livre ouvert. Mais la s'arrête son expressivité.

Sur son visage aux traits nobles, il est très difficile de déceler le moindre changement d'humeur, comme s'il portait en permanence un masque de marbre. Un dessin des lèvres aussi fin et délicat que le tracé d’une plume, lèvres sur lesquelles un sourire, parfois, s’esquisse. Sachez que le jour où Thaddeus sourira à pleines dents n’est pas encore arrivé…non, la plupart du temps ses sourires, loin d’être des sourires "heureux", sont des sourires de courtoisie ou exprimant une légère satisfaction, demi-sourires calmes et sans engagement approfondi. Sourires destinés aux autres, pas pour lui-même.Néanmoins, lui arracher une expression relève presque du fantastique, sinon un vague haussement de ses  sourcils blonds ou un froncement de nez.

Encadrant ce visage des plus difficiles à lire, sa touffe de cheveux blonds et la seule chose dont il n'a jamais eu le contrôle, et soyons honnête, n'aura jamais le contrôle. Ses cheveux sont une des seules batailles qu'il a bel et bien décider d'abandonné. Il semble toujours avoir la tête de quelqu'un qui vient de se lever de son lit tellement sa tignasse va dans tous les sens. Ses mèches blondes, épaisses et soyeuses, lui tombe dans le cou , sur le front et enfin devant ses yeux jaunes. Et s'il ne de décide pas à aller rendre visite chez la coiffeuse pour avoir des cheveux courts, c'est pour une raison tout à fait bizarre: il ne veut pas que l'ont voit son cou.  Bizarrement, sa nuque est un point chez lui qui lui est particulièrement sensible. N'essayer jamais de le toucher à cet endroit... Oubliez tout de suite.

Thaddeus accompli tout les jours des gestes précis dans son travail. Ses mains sont grandes et ses doigts ont beaux êtres masculins, il est délicat mais précis dans tous ses gestes. Une dextérité toute chirurgienne.

Côté vêtement, il possède une panoplie de couleurs tout a fit stupéfiante allant du gris clair au gris froncé au noir...Admettons que la façon dont-il se vêt n'as pas une très grande importance pour lui (voir pas du tout). La plupart du temps, on le voit en chemise agencée d'un pantalon en coton, de souliers noir et parfois aussi de son sarrau blanc qui lui va à merveille. Bien que ses vêtement soient simples, ils n'en reste pas moins toujours impeccablement repassés et inspectés avec attention dans le but de n'avoir pas le moindre plis.  

Sous cette chemise impeccablement repassée, on peut tout de suite voir que le jeune homme n'est pas un adepte du culturisme. Non, il ne traîne pas au gym, non il ne lève pas 150k de poids et haltères et non il ne se gave pas de milk-shake protéiné. Thaddeus a plutôt la carrure d'un cycliste. c'est à dire que ses muscles sont harmonieusement répartis sur tout son corps. D'ailleurs, son fidèle vélo est son seul moyen de locomotion à travers l'ile, se qui fait du jeune peintre quelqu'un de très endurant et de très en santé.

Pour ce qui est du reste du corps de Thaddeus, rien n'a été confirmer à ce sujet...

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Sa famille était une peinture à l’huile parfaite. Lisse, belle, élégante. Convenue. Sans aucune substance au-delà du jeu des surfaces, de l’apparence. Sa mère. Sa mère, la beauté des lumières de Paris à la chevelure dorée tombant avec une grâce languide le long de son dos. Elle avait sa pâleur délicate et ses yeux ambre. Il n’avait pas encore le sourire froid et arrogant qui s’ajoutaient à ses traits fins et semblaient étrangement accentuer sa beauté. C'était

Quant au père…c’était un homme réservé et poli, souvent absent, parti pour affaires aux États-Unis. Lorsqu’il revenait, il lui amenait des toiles et semblait se réjouir de ses progrès en impressionnisme , bien qu’étant trop pris par les affaires pour lui enseigner lui-même. Il l’aimait, oui, peut-être davantage. Peut-être parce qu’il n’eut jamais à recevoir une réaction négative ou indifférent. C’était un modèle sur lequel il pouvait placer n’importe quel idéal.

Dès son plus jeune âge il s’était mis à la peinture avec une détermination farouche suite à une seule remarque du cher paternel à propos de la noblesse de cet art. Oui, déjà bien têtu. Entre l'école privée et le profond ennui des soirées mondaines organisés à leur manoir, le petit garçon blond appris la peinture avec des maîtres très cher payé, merci à l'argent familiale, et il appris très vite et très bien à peindre ainsi qu'à connaitre le nom de tout les pinceaux et à quoi pouvaient-ils servir.

Oh, non. Thaddeus n’était pas malheureux, dans ce monde. Mais il n’était pas heureux non plus…

Juste un ‘vide’ impalpable, anesthésié, sans réelle chaleur.

Il se dit que cela était sans doute peu important. Et il semblait oublier ce manque en peignant ses toiles

Ce qui avait commencé par une manière de faire plaisir à ses parents, même une obligation, celle de montrer un talent...devint une passion. Oui. Il ne pensait plus qu'à cela désormais. Les morceaux lui parlaient. Van Gogh, Picasso et Renoir étaient comme de vieilles connaissances qui lui disaient:

Tu n'es pas seul.

Presque pas seul.  

Les progrès indéniables de leur fils unique enchantait la mère, qui se voyait déjà entrain de se pavaner de blanchissage en blanchissage réaliser par Thaddeus. Il fallait qu'il soit le meilleur, il en allait de l'honneur de la famille Joplin après tout. C'est donc à ce moment précis de l'histoire entrant la présigieuse Académie Hétalia dans le décor. Célèbre dans le monde entier, quoi de mieux pour leur fils, et pour eux même, par la même occasion. Il fut donc envoyer la bas dès ses 15 ans pour y retourner à chaque année après les vacances dans leur chalet en Suisse ou dans le yacht familial en bordure de la mer Méditerranée.

UNDER THE DOME...